Quelques unes de mes sculptures

Lee-Lou

- Bras décor : clavier de pc portables, corps de disque dur, barrettes mémoire
- Mains : souris à boule
- Main droite décor : Windows Phone HTC
- Cou structure : éléments de lecteurs de disquettes
- Cou décor : corps de disque dur, écharpe en nappé IDE, tête de lecture DD.
- Visage structure : éléments de lecteurs de disquette
- Visage décor : yeux - lecteur DVD ; bouche - aiment de disque dur et fil cuivre, bandeau - nappé IDE
- Cuir chevelu structure : grilles d'aération de carters d'alimentation
- Cuir chevelu décor : fils électriques d'alimentation
- Bijoux : bracelet - moteur de lecteur DVD sur pattes de fixation de carte d’interface, bouclesd'oreilles - moteur de lecteur de disquette et bobine (Alimentation)
- Éclairage : 30 DEL bleues
- Socle : boitier tour
- Jambes structure : tôles de boitiers d'alimentation
- Jambes décor : carte d'interface, vidéo, son, modem ...
- Bassin structure : tôles de boitier tour
- Bassin décor : jupes en ventilateurs d'alimentations
- Tronc Structure : sandwich de boitiers plastique de lecteur DVD entre tôles externe de boitier tour
- Tronc décor : cartes mères et cartes interface, moteur lecteur disquette
- Épaules structures : carter de lecteur DVD
- Épaules décor : barrettes mémoire
- Bras Structure : élément de lecteurs de disquettes

- 48 Alimentations
- 30 Lecteurs CD/DVD
- 20 Lecteurs de disquettes
- 10 claviers portables
- 6 Disques Dur
- 40 Nappes IDE
- 20 Cartes interfaces
- 16 Barrettes mémoire

Avec ses 190 cm, Lee-Lou est fabriquée exclusivement avec des matériaux de récupération informatique, soit :

Lee-Lou est née d’un constat : j’avais créé sans le préméditer comme une temporalité avec Dana et Émilie. Il fallait donc poursuivre la série. Une jeune fille très contemporaine, devait être « branchée », un peu trop dans la société de consommation, un peu trop «fashion», un peu trop «branchouille». Mais en même temps, quand même un peu «écolo».
La décision fut prise de la réaliser avec exclusivement du matériel de récupération informatique et télématique. Elle a donc un téléphone portable ouvert sur sa page « Facebook », que vous pouvez aller consulter (Lee-Lou d’Alixire). Demandez-la comme amie, elle en sera ravie.
En place du sac à main, une tablette graphique où défile le texte d’Olympe de Gouges, « La déclaration de la Femme et de la Citoyenne ». Parce que malgré tout, elle fait un peu marcher sa tête notre Lee-Lou…

Alix Colmant Artiste Plasticienne

Dana

Pour Dana, une envie de liberté, du sauvage encore un peu, du mouvement.
Les dessins sur son corps sont inspirés des tatouages Maori réservés aux hommes.
Ces tatouages ont un sens, ils expriment ce qu’a été la vie de l’homme qui les porte. Je ne connais pas le code du tatouage Maori, j’ai inventé mon propre code, mais quelque part, mes dessins représentent surement un peu ce que cette femme a été, est et sera : une femme libre, puissante et sans entraves.
Dana a débutée par une structure métallique, couverte de papier, des couches et des couches. Une fine couche de plâtre pour unifier tout cela et de la peinture.
Une envie de mélanger deux médiums si parfaitement distincts habituellement : le dessin (à plat) sur de la sculpture (en volume).

Emilie

Enfermement du corps de la femme dans un carcan de la religion, de la société, de la robe. Enfermement de la femme dans un rôle subalterne. Libération par les mots, par la pensée, par l’étude et la réflexion qui leur a été et est encore pour certaines, refusés.
Émilie, c’est une structure de grillage couverte exclusivement de papier. La couche supérieure, c’est la correspondance de Mme du Deffand, femme de Salon du XVIII° pour le tissu, et des manuscrits pour le charnel et le capillaire.
Émilie, c’est pour Émilie du Chatelet, lettrée, scientifique ; contre tous.
Emilie mesure 165 cm.

Chroma

Sculpture

Chroma, c’est l’union de deux médiums : le bois, au fort caractère, glané en forêt et le papier, matériau pauvre anoblie de la forme. Ici, j’ajoute la couleur, flamboyante dont le chatoyant, dialogue avec le rugueux du bois. Cette couleur, c'est aussi un hommage à l'artiste Hundertvasser.
(Bois, papier, plâtre, peinture, 80 cm.)

Alix Colmant Artiste Plasticienne

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Oui, planer sans plan de vol, sans but précis, au fil de l’inspiration, juste le nez au vent. Monter, tracer des presque cercles, des volutes, des amorces de spirale, redescendre un instant, jouer avec l’air, avec les vents : Aéoridès…
Léger comme plume, accroché par quelques fils transparents, Aéoridès se fait mobile. Semblant flotter dans l’air, le moindre souffle le fait vivre. La lumière, tentant de percer ses membranes, l’enrichit encore, à chaque impulsion de subtiles nuances.
Aéoridès, c’est une série qui s’enrichie régulièrement. Petites dimensions pour commencer, qui se voit s'agrandir. Vient ensuite une autre forme, plus verticale avec toujours le papier de soie. Pour le quatrième de la série, c’est du papier japonais, plus épais et si riche de matière qui couvre une bien plus grande surface. Le cinquième, réalisé pour l’exposition d’Assas, est couvert de dentelle. Les suivants suivront la voie. D'autres projets, d'autres évolutions encore ...

Pour acheter

Chapelle des Pénitents blancs d'Avignon, une séance photo avec un créateur de lumière et soudain, un si léger fil d'air...

Alix Colmant Artiste Plasticienne

Série Aéoridès

Du fil de fer, quelques soudures, du papier ou de la dentelle … Voici les ingrédients des Aéoridès.
L’acte de naissance ? Une pensée vers la chauve-souris, cette petite chose de quelques grammes, légère et vive dont la structure formelle des ailes m’émerveille : une membrane diaphane posée sur l’élégance fascinante du squelette. Je m’en inspire pour en garder le diaphane, le gracile, le délicat. Je l’enrichie de l’enroulement, de la torsade, de l’arabesque pour tendre vers l’aérien : circonvolutions qui se promènent dans l’espace comme l’on rêverait de se promener si l’on était oiseau.

Je vous propose ici des tirages photographiques de mes Aéoridès en lumière