Violetta fait partie de mes œuvres hybrides qui associe le dessin au volume. J’aime dessiner sur volume alors je me crée des occasions. Celle-ci, c’est une vielle envie d’envahir un corps entier. Alors, trouver un mannequin de vitrine, le modifier avec moulte couches de plâtre (pour qu’elle ressemble un peu plus à une femme et moins à une adolescente anorexique), couvrir de blanc et s’abandonner au délice du dessin au crayon graphite. La surface, ample mais éparse, me donne l’occasion d’aborder beaucoup des si divers thèmes qui me plaisent. Au spectateur ensuite de promener son regard afin d’essayer de ne rien rater.